18 avril 2010
Cette nuit...
... j'ai rêvé que j'étais cette inconnue saisie par Lucille Reyboz (restes diurnes sans doute car je m'étais arrêtée un long moment sur cette photo, juste avant de fermer l'ordi); la terre, sous mon corps, était spongieuse et tiède. J'avais atteint ce niveau d'abandon qu'on ne connaît qu'aux enfants - parce qu'ils ne savent pas. Un rêve si chaud, si beau, qu'il vous fait haïr l'oiseau qui annonce le jour.
J'écoute Juliette. Pour oublier le sale temps, pour retenir l'émotion du rêve, faire comme si...
Pierre Philippe, Heureuse
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