29 mai 2011
Elle ne peut rien me cacher
Et c'est tant mieux. Au moment d'écrire ce billet, ma fille doit être en train de se goinfrer (levée tôt, elle est partie presque à jeun vers le lieu de départ du Marathon d'Ottawa), sans se douter que je l'ai suivie via internet sur presque tout le parcours. J'ai sans doute connu ses résultats avant elle, car elle doit aller les chercher sur le terrain. J'ai déjà publié mes félicitations sur Facebook. Il ne me reste plus qu'à écouter le récit de ce fameux week-end qu'elle n'aurait raté pour rien au monde malgré un «vilain rhume». Un détail que je ne connaissais pas, mais l'information a coulé via le réseau social. Elle ne peut rien me cacher, vous dis-je...
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